District 5: Francis Komedza à la défense des enjeux de son quartier 

MUNICIPAL. Dans son dernier élan de campagne, le candidat dans le district 5, Francis Komedza, tient à réitérer les points centraux de sa plateforme électorale. Passant de l’environnement à la sécurité dans les rues de son quartier, le Granbyen souhaite faire avancer les nombreux projets qui interpellent ces concitoyens, s’il est élu le 7 novembre prochain.  

Après de nombreux échanges avec son voisinage, le candidat remarque que la question portant sur la protection de l’environnement attise les passions des électeurs. « L’environnement revient souvent dans les discussions et je pense que c’est normal que ce sujet nous préoccupe tous. Si je suis élu, ça sera ma première préoccupation et c’est un dossier que j’irai défendre », affirme Francis Komedza.

De plus, le candidat s’engage à poser un geste concret tous les quatre mois dans le cadre d’une campagne intitulée  « Je fais ma part pour l’environnement ». Différente pour chaque occasion, cette action se veut rassembleuse où les citoyens sont invités participer à une collecte de déchets ou toute autre activité en lien avec la préservation de l’environnement.

 

Outre ce thème, la sécurité dans les secteurs résidentiels est une priorité pour le candidat. Selon les échos des résidents, ces derniers sont préoccupés par la sécurité des enfants dans le secteur et ont déjà porté plainte face à la vitesse excessive de certains conducteurs dans le coin des rues Rolland et Irwin, notamment. Contrairement à certains candidats, Francis Komedza mise sur la sensibilisation des automobilistes plutôt que d’imposer de nouvelles réductions de vitesses dans le quartier. « Pour moi, la sensibilisation doit être en continu. Si cette option ne fonctionne pas, on pourra alors consulter des experts pour qu’ils nous donnent leur avis. J’ai confiance au sens de responsabilité et de civisme des citoyens », mentionne-t-il. 

Dans un autre ordre d’idées, Francis Komedza veut donner une plus grande visibilité aux producteurs agricoles lors des séances du conseil. 

« À chaque fin de saison, je vais retourner discuter avec les producteurs et voir dans quelle mesure on peut leur faire valoir leur expertise dans la communauté », mentionne le candidat.