Quelques échos du conseil de Granby

MUNICIPAL. Voici certains éléments qui ont retenu l’attention de la dernière séance du conseil municipal de Granby.
Renouvellement d’une adhésion
La Ville renouvelle son adhésion à la Fédération canadienne des municipalités (FCM) et autorise le paiement des frais de cotisation pour la période du 1er avril 2017 au 31 mars 2018. Le montant à défrayer est de 11 006, 74 $.
Aide financière pour la formation des pompiers volontaires ou à temps partiel
L’administration Bonin recommande qu’une demande d’aide financière dans le cadre du Programme d’aide financière pour la formation des pompiers volontaires ou à temps partiel soit déposée auprès du ministère de la Sécurité publique et qu’elle soit transmise à la MRC de la Haute-Yamaska. Cette somme d’argent serait valide pour la période allant du 1er avril 2017 au 31 mars 2018 et pourrait se chiffrer jusqu’à 20 000 $.
Renouvellement pour les ententes «Coupez le moteur!»
Les autorités municipales autorisent le renouvellement des ententes concernant le programme «Coupez le moteur!» conclues avec quatre organismes, dont le Collège Mont-Sacré-Cœur.
Fin des activités pour Pro-Flam
Le dossier opposant la Ville de Granby et l’entreprise Pro-Flam est maintenant réglé. Rappelons que le 19 décembre dernier, le conseil municipal acceptait les termes d’une entente permettant à Pro-Flam de pouvoir poursuivre ses activités pendant une période maximale de dix jours se terminant le 31 décembre 2016.
Malgré cette entente, le 2 janvier dernier, des plaintes de citoyens ont été reçues à l’effet que l’entreprise était toujours en activité. Le lendemain, une lettre a été transmise au procureur des entreprises Pro-Flam et 2854-5028 Québec inc., sommant l’entreprise Pro-Flam de cesser immédiatement ses activités et de respecter ses engagements.
Le 4 janvier, le procureur des deux entreprises a fait parvenir au Service juridique une correspondance ci-jointe dans laquelle il fait état de difficultés rencontrées par l’entreprise après la décision du conseil du 19 décembre, et demandant un nouveau délai de dix jours. L’administration du maire Pascal Bonin a refusé d’octroyer un délai supplémentaire.
«Le 2 janvier dernier, je me suis rendu sur place pour faire cesser les activités de l’entreprise. Le dossier est maintenant clos», a raconté le conseiller Robert Riel lors de la dernière séance du conseil municipal.