Stéphane Giard sollicite un second mandat dans le quartier 1

MUNICIPAL. Le conseiller du district un, Stéphane Giard, tentera de se faire réélire pour un second mandat lors de l’élection du 5 novembre prochain à Granby. Le principal intéressé a confirmé sa candidature, vendredi matin.  
 

Depuis quatre ans, Stéphane Giard estime avoir livré la marchandise dans son quartier. «Depuis la dernière élection, il n’y a jamais eu autant d’investissements dans les infrastructures. Plus de 10 M$ ont été injectés au niveau routier depuis la fusion avec l’ancien Canton», raconte-t-il en point de presse.

Le principal intéressé souhaite d’ailleurs poursuivre dans la même veine. «Dans le temps du Canton, les routes étaient faites différemment de ce qui était fait au niveau de la Municipalité. Elles ont été creusées moins profond avec des pierres des champs. On veut continuer à être vigilant pour les infrastructures. Certaines rues devront être refaites», explique-t-il.

D’autres réalisations ont de quoi satisfaire le conseiller sortant comme la sécurité des citoyens, l’aménagement de différents parcs et le règlement du dossier des verrières Saint-Alexandre. «C’est un problème qui datait depuis 2007 et c’était une problématique de l’eau. C’était un dossier chaud. On a réussi à régler ça», lance celui qui habite ce quartier depuis 14 ans.

Questionné à savoir s’il souhaitait conserver les dossiers liés aux sports, le conseiller sortant a indiqué ne vouloir fermer aucune porte. «J’ai beaucoup de plaisir. C’est un naturel pour moi. J’ai passé ma vie dans les sports. Ça sera au maire en place à décider. Je suis prêt à siéger sur d’autres comités, mais j’aimerais y demeurer pour piloter la réalisation du plus gros projet de la Ville qui est le centre aquatique», lance M. Giard.

Pour sa campagne électorale, ce dernier ira à la rencontre des citoyens en faisant du porte-à-porte. «Je pense que c’est la clé du succès. Tu peux mettre les pancartes que tu veux. Les gens veulent te connaître et te parler. C’est important de rencontrer tes concitoyens pour prendre le pouls du quartier», conclut-il.