Chantal Goupil dévoile son récit au-delà de l’entendement

LANCEMENT. C’est le 24 novembre prochain que le lancement du livre Le chant de la sirène de Chantal Goupil s’effectuera à la bibliothèque Paul-O.-Trépanier. Le livre paru chez Louise Courteau Éditrice, dans la collection Ufologie profonde, relate les expériences incroyables de l’autrice granbyenne, dont la vie a complètement changé à la suite d’une rencontre du 3e type qu’elle a vécue à l’âge de 12 ans. 

C’est avec beaucoup d’émotions que Chantal Goupil attend le lancement de son livre, elle qui travaillait déjà depuis quelque temps sur un roman science-fiction d’anticipation, a décidé d’interrompre sa démarche pour se lancer dans la rédaction d’un récit autobiographique. Si pour certains il s’agit que d’un lancement comme on en voit à l’habitude, pour Mme Goupil, il s’agit d’un pan complet de son existence qu’elle s’apprête à dévoiler au grand public. « Les gens font preuve d’une grande ouverture d’esprit, je pense que les gens comprennent bien quand on parle d’un ‘’expérienceur » comme moi et ce qu’on vit (…). Le terme ufologie profonde (titre de la collection) est ce que décrit le plus le phénomène ovni imbriqué dans le phénomène paranormal », souligne l’autrice.

Des phénomènes paranormaux, l’autrice affirme en avoir vécu plusieurs, dont un événement particulier en 1978. Alors qu’elle n’avait que 12 ans, Chantal Goupil soutient avoir été enlevée par des extraterrestres qui auraient effectué d’étranges opérations sur son corps. Au lendemain de cette rencontre, la jeune Chantal se découvre une incroyable capacité, elle peut respirer sous l’eau. Non pas qu’elle peut retenir sa respiration, elle respire naturellement sous l’eau, tout comme une sirène. Depuis ce temps, Voyages astraux, visions, apparitions et prémonitions ponctuent le quotidien de l’autrice qui a aujourd’hui 56 ans et qui se considère comme un expérienceur. « Être un expérienceur, c’est de comprendre que les gens sont beaucoup plus qu’une enveloppe physique. On voit avec nos yeux de personnes de tous les jours, mas il y a tout un côté invisible qui existe dont on doit prendre connaissance, qu’on soit experienceur ou pas. Se faisant, ça nous ouvre les yeux sur une tout autre dimension, celle de l’invisible. »

Et si aujourd’hui Chantal Goupil a trouvé la force de braver les préjugés et partager son récit, c’est bien grâce à Jean Casault, ancien journaliste et auteur prolifique dans le domaine de l’ufologie, qu’elle a rencontré en 2017 et qui depuis ce temps la pousse à partager son expérience. « C’est lui qui m’a vraiment ouvert les yeux sur tout ce qui m’est arrivé et qui a fait en sorte que j’ai écrit un livre à sa demande (…). C’est vraiment lui qui m’a fait comprendre qu’à la suite de mon expérience ufologique à l’âge de 12 ans, tout ce qui m’était arrivé était imbriqué », informe Mme Goupil. « J’avais un ressenti très profond comme si je connaissais M. Casaut depuis toujours, c’est une rencontre d’un autre niveau si je peux dire ça comme ça », ajoute-t-elle.

Alors que toute sorte d’émotions se bousculent dans la tête de l’autrice, celle-ci ne souhaite en fin de compte qu’une chose, allumer des réverbères à son tour, pour que d’autres expérienceurs qui se reconnaissent dans son récit puissent parler ouvertement des phénomènes étranges qu’ils peuvent vivre. « Souvent dans notre vie, on se demande pourquoi il nous arrive telles choses, ou pourquoi on vit telles situations. De pouvoir mettre le doigt dessus et de voir que c’est de l’ufologie profonde, ça permet de mettre un mot sur quelque chose qui nous pousse à s’interroger toute notre vie », conclut Chantal Goupil.

Le lancement aura lieu le jeudi 24 novembre prochain à la bibliothèque Paul-O.-Trépanier, de 18h à 20h.