L’art de la vérité sous la plume de Marie-Ève Lamontagne

LITTÉRATURE. À peine quelques mois se sont écoulés depuis l’écriture des premières lignes de l’ouvrage Le livre de la vérité: la liberté d’être et de vivre pleinement signé Marie-Ève Lamontagne. Pour son second livre en carrière, l’auteure met en perspective le concept de vérité sous toutes ses formes.

Cumulant plus de 15 ans d’expérience dans les médias télévisuels, Marie-Ève Lamontagne a été confrontée à plusieurs reprises au concept de vérité, et ce, autant sur le plan professionnel que personnel. Un thème qu’elle tente de démystifier dans son ouvrage en présentant la vérité au-delà de la conception préconçue comme étant le contraire du mensonge.

«On vit dans un monde où on ne sait jamais si c’est vraiment vrai puisqu’ il y a des côtés que l’on ne voit pas. Tout est en changement donc, on cherche toujours une vérité à l’extérieur de nous-mêmes. C’est déstabilisant, car la vérité change tout le temps et on se retrouve constamment dans une quête», explique Marie-Ève Lamontagne.

C’est par ses expériences personnelles qu’elle pousse donc cette réflexion aux lecteurs tout en les aidant à trouver une quête vers cette vérité. «J’essaie d’amener les gens à accueillir notre façon de voir la vie et de la baser là-dessus et de l’apprécier le plus possible», précise-t-elle.

La communication avant tout

Ayant quitté de son plein gré le monde des médias en 2014, la Granbyenne n’a pas tout de même fermé la porte aux autres médiums liés à la communication. Elle s’est alors tournée vers les conférences en abordant le thème de l’estime de soi. De fil en aiguille, ces prestations devant public l’ont mené à l’écriture de ses deux premiers bouquins en carrière. Malgré cet accomplissement, l’avenir reste encore incertain pour l’auteure qui se dit à prête à relever de nouveaux défis dans le domaine des communications.

«En ce moment, je me questionne beaucoup, car la vie change rapidement. Je sentais que je devais écrire le livre et maintenant je serais peut-être prête à passer à autre chose», renchérit Marie-Ève Lamontagne.