En avril, dur de suivre le fil!

CHRONIQUE. Je suis certain que plusieurs d’entre vous êtes comme moi et courez après votre queue en avril, avec le sport estival qui commence et le sport hivernal qui n’est pas fini.

Chronique Gérant d’estrade avec Raphaël Doucet.

Chez nous, mon plus vieux a disputé son dernier match officiel de hockey le 6 avril, lors des Championnats régionaux (que nous avons remportés !).

Mais le hockey se poursuit jusqu’à samedi, puisque mes trois gars sont inscrits au trois contre trois de l’association locale, qui propose cinq matchs amicaux. Je voulais que mes plus jeunes s’habituent à jouer pleine glace avant de tenter leur chance au camp AA/BB, qui a lieu fin avril/début mai.

Car, oui, ici, le camp de « deux lettres » se déroule au printemps. L’organisation forme les équipes à 90 %, avant de procéder aux coupures finales en septembre. J’avoue que je ne comprends pas trop pourquoi c’est ainsi. Dans ma tête, six mois, c’est immense pour un enfant ! D’avril à septembre, bien des choses peuvent se produire dans le développement d’un kid de 9, 10, 11, 12, 13 ans… alors à quoi bon tenir un camp en avril ? Mais bon…

Parallèlement à tout ça, le soccer commence et pour d’autres, c’est le baseball ! ce soir, à raison de deux entraînements CDC par semaine. Dans le U-11, mon plus grand pourra même prendre part à une troisième pratique, le lundi soir, mais celle-ci sera optionnelle.

Comme si ce n’était pas assez, il faut ajouter à l’horaire les partys de fin de saison de hockey, la cérémonie de lever des bannières au hockey (samedi dernier), de même que plusieurs rencontres de parents et/ou d’entraîneurs pour le soccer.

Sans oublier que mon plus gros rush de l’année au boulot va commencer vendredi prochain, le 25 avril, pour se terminer… le 7 juin. Entre-temps, je serai sur place pour les demi-finales et la finale de la LHJMQ, le tournoi de la coupe Memorial (à Rimouski) et la tenue du Repêchage 2025 de la LHJMQ, à Québec. En l’espace de six semaines, je vais passer une bonne vingtaine de nuits à l’hôtel.

Je ne chômerai pas (ma blonde encore moins !), mais je ne me plains pas, car j’adore mon boulot et les séries, c’est le meilleur temps de l’année.

Je vais essayer de me reposer jusqu’au 25… avant d’arriver au 7 juin en un claquement de doigts !

Chers parents, lâchez pas. Le chevauchement des deux sports achève. À moins que vous ayez eu la « brillante » idée de dire oui au hockey de printemps !