Marie-Ève Jodoin: entrepreneure dans l’âme

Entrepreneure dans l’âme, Marie-Ève Jodoin s’est récemment lancée dans un nouveau projet de création de leggings pour femmes et enfants et de culottes féminines écologiques. Mieux connue sous le nom de Petite fée, l’entreprise connaît une grande popularité au sein de sa clientèle. Une véritable réussite pour cette femme d’affaires à l’imagination flamboyante.

À la fois créative et fonceuse, Marie-Ève a rapidement développé une passion pour l’entrepreneuriat. «C’est venu naturellement dans ma vie. Lorsque j’avais 11 ans, je m’amusais à faire des tresses à mes voisines. Je suis toujours prête à créer quelque chose. D’où mon intérêt de partir ma propre entreprise qui conjuguent mon esprit créatif et mon côté entrepreneurial», explique la fondatrice de Petite fée.

C’est alors au début de sa vingtaine qu’elle a décidé de se perfectionner dans ce domaine en retournant sur les bancs d’école. En parallèle, elle a fondé son entreprise et a donné naissance à deux enfants. Depuis quelque temps, elle consacre la majorité de son temps à son entreprise qui confectionne tous ses produits à la main.

Une mère de famille organisée

Malgré son horaire du temps chargé, Marie-Ève Jodoin gère très bien le volet travail-famille. Son sens de l’organisation lui permet de passer de temps en famille tout en s’affairant à ses tâches quotidiennes.
«J’ai adopté la formule de travail hybride où je peux tout faire de chez moi en gardant les enfants à la maison. Mes enfants ne sont jamais allés à la garderie à temps plein. Je ne peux pas dire que c’est facile de concilier l’entrepreneuriat et la gestion familiale, mais il faut voir le tout dans son ensemble. J’apprécie les moments avec mes enfants, j’apprends à vivre dans le présent et à être résiliente.  Le fait d’être disponible pour mes enfants les place au premier plan de mes priorités et me permet une belle flexibilité familiale», souligne Marie-Ève Jodoin.

L’entrepreneure profite aussi de ses soirées pour travailler dans ces différents projets de création. «La solution que j’ai trouvée, c’est de travailler lorsqu’ils dormaient. À 19h30, je couche mes enfants et moi, je travaille quelques heures pour m’avancer», précise-t-elle.