Des sous pour faire bouger la Barak aux Sports

COMMUNAUTÉ. Initiation à l’escalade, organisation d’un gala de lutte, volleyball de plage, hockey balle, basketball, entraînement avec des spécialistes. Pour les trois prochaines années, la Ville soutiendra financièrement la maison des jeunes de Granby pour près de 29 000 $ en consolidant le programme «La Barak aux Sports; une initiative destinée à faire bouger les adolescents à travers une série d’activités sportives.

Cette nouvelle entente prévoit un premier versement de 9276 $ pour l’année en cours. Des contributions de 9508 $ et 9756 $ figurent également au sommaire de la convention entre les deux parties pour 2022 et 2023. Avec ces fonds, la maison des jeunes pourra continuer de développer l’offre sportive pour les 12 à 17 ans. L’embauche d’une ressource fait notamment partie des plans de la maison des jeunes.

«L’aide de la Ville va nous servir dans nos animations parce qu’on fait souvent appel à des entraîneurs de l’extérieur (…). Et ça nous sert aussi pour l’entretien de nos infrastructures. Ça l’air de rien, mais les bandes de notre patinoire doivent être rafraîchies de temps en temps», explique Marie-Ève Houle, directrice générale de La Barak.

«Nous avons notre équipe régulière d’animateurs en intervention et prévention, mais parfois d’avoir des gens de l’extérieur avec un bagage sportif, c’est soutenant et ça facilite à promouvoir l’activité sportive chez les jeunes», a laissé entendre Mme Houle.

Encore une fois cette année, dès que la situation reviendra au beau fixe, les jeunes de La Barak auront aussi la possibilité de présenter des projets sportifs à réaliser auprès des animateurs.

«Les cours de lutte et notre gala que l’on fait depuis trois ans, les cours d’escalade…le budget de la Barak aux Sports couvre ce genre de dépenses.» «Et quand la COVID va être derrière nous, on va se rasseoir avec les jeunes pour connaître leurs prochains projets. Ça fait partie de notre mission de calquer nos activités selon leurs besoins actuels et leurs souhaits puisqu’ils sont une partie prenante de la maison des jeunes. Et c’est dans notre mission de les amener à devenir actifs et responsables et de toute façon, ça serait difficile de mettre sur pied une activité qui ne les intéresse pas. On partirait avec deux prises», conclut la DG de La Barak.