Une convention collective pour les employés du bureau de la SAAQ à Waterloo

MUNICIPAL. Plusieurs dossiers ont été discutés lors de la dernière séance du conseil municipal de Waterloo. En voici un aperçu.

Des lampadaires extraordinaires

Les élus de Waterloo autorisent la firme Cima + à réaliser une étude de faisabilité pour des plans et devis afin de mettre en place de lampadaires de haute technologie. Le contrat est évalué à 24 726, 52 $ taxes incluses. 

Nomination d’un membre substitut au CCU

La Ville de Waterloo nomme le conseiller Roger Bélanger à titre de membre substitut au Comité consultatif d’urbanisme (CCU). Ce dernier remplace Yvon Lemire actuellement malade. 

Entente Maroons

Le conseil municipal de Waterloo autorise une entente de financement de 2 500 $ avec le Club de hockey des Maroons 2.0 de la Ligue de Hockey Sénior du Québec. 

Journées de la culture à Waterloo

Dans le cadre des Journées de la culture 2016 qui auront lieu du 30 septembre au 2 octobre, la Ville de Waterloo organise différentes activités. Parmi elles, il y aura la lecture d’un conte, un spectacle pour les 0 à 10 ans, prestation de la fanfare 1864 et du cinéma pour la famille à la Maison de la Culture de Waterloo le 2 octobre dès 13h30.

Convention collective pour employés du bureau de la SAAQ

La Ville de Waterloo et les employés du bureau de la Société de l’assurance automobile du Québec se sont entendus sur les termes d’une convention collective. La municipalité est mandataire de ce bureau et les deux employés présents sont administrés par la ville. Ces derniers ont demandé une convention collective unique qui a été acceptée par les autorités municipales. Le contrat de travail est rétroactif au 1er janvier 2016 et est valide jusqu’au 31 décembre 2018.

Modification à un règlement concernant les élus et les employés municipaux

Le conseil municipal va de l’avant et adopte une modification au règlement sur l’éthique et la déontologie des élus et des employés municipaux. Waterloo répond ainsi à une demande du gouvernement du Québec qui demande à ce que tous les élus aient cette clause. «Dans le passé, il y a eu des scandales. Lors d’une levée de fonds, certains élus ou employés allaient voir des entreprises et soulignaient qu’il allait y avoir un projet important afin d’aider à mousser la levée de fonds», a indiqué le maire de Waterloo, Pascal Russell au terme de la séance du conseil. 

Dorénavant, lorsque les élus assistent à une levée de fonds, ils ne peuvent pas parler de dossiers politiques à ce sujet. Sinon, ils pourraient être en délit et c’est contraire à la déontologie. Une sanction pourrait être émise. Dans le cas d’un élu, celui-ci pourrait être inhabile à siéger et dans le cas d’un employé, il pourrait être suspendu ou congédié selon le premier magistrat.