Une 18e Francofête à Granby

FRANCOPHONIE. Dictée, jeux linguistiques, poésie, exposition, contes, scrabble et virée gastronomique à travers la francophonie vont meubler les huit jours de la 18e Francofête soulignée du 19 au 26 mars à Granby.

L’Association Québec-France, secteur de Granby, donne le coup d’envoi des festivités le 19 mars à 14h au Théâtre Palace avec les prestations des comédiens France Arbour, Luc Senay et Patrick Golau. Accompagnés au violon par Marius Mihai, les trois artistes de la scène vont présenter l’heure du conte francophone à leur façon.

À la Semaine de la francophonie et du conte, on parle, mais on mange aussi. Du 20 au 23 mars, place à la cuisine internationale au Provigo de Granby, de la rue Saint-Jude Nord, avec un menu consacré notamment à la cuisine belge et haïtienne. Par ailleurs, la Ville de Granby soulignera à son tour la Francofête en hissant le drapeau de la francophonie devant l’hôtel de ville, le 20 mars.

Pour les amateurs de scrabble, la Francofête tiendra un rendez-vous où les mots et le plaisir seront à l’honneur le jeudi 23 mars à 19h au Centre culturel France Arbour (279, rue Principale).

La bibliothèque Paul-O.-Trépanier met aussi en vitrine la poésie française avec l’exposition consacrée aux auteurs Sacha Guitry et Claude-Henri Grignon. La Francofête reçoit cette année la comédienne Jo-Ann Quérel dans le cadre du souper de la francophonie. La soirée se tiendra Chez Plumet, réservation avant le 20 mars auprès de Luc Perron au 450 361-1644.

La fête de la langue française et de la francophonie se terminera avec une dictée et des jeux linguistiques, le dimanche 26 mars dès 13h30 au café étudiant du Cégep de Granby. Plus d’une douzaine de villes de la province participeront, entre autres, à la dictée, dont la lectrice officielle sera l’actuelle mairesse de Longueuil, Caroline Saint-Hilaire. Inscription: lucj.perron@videotron.ca.

«On est très heureux de la programmation. On y va pour le grand public, mais aussi pour les jeunes. On veut, à travers certaines activités, que les jeunes lisent et écrivent davantage et qu’ils apprécient le français», a indiqué Luc Perron, président de l’Association Québec-France, Haute-Yamaska.